Le bonheur se réduit-il à une accumulation aussi dépourvue de sens qu’une compilation de tubes ? Et que faire dans un monde où ni la politique, ni l’amour, ni le football, ne paraissent plus capables de justifier une existence ?
Se réfugier dans la musique ? Se suicider ? Participer à des réunions de colocataires ?
Dans un style vif où les références à Kant côtoient les citations de Sid Vicious, et en 14 nouvelles, comme il y avait 14 titres sur les albums des Beatles, quand ils étaient jeunes, l’auteur évoque une société qui ne parvient plus à enchanter grand chose.
Cynique ? Peut-être. Lucide ? A vous de juger. Drôle, sûrement.