La naissance de Sébastien Gendron advient seulement quatre-vingt-dix jours après la mort de François Mauriac, et à peine vingt après celle du Général de Gaulle. Ses parents en sont si troublés qu’ils hésitent longuement sur le prénom : sera-ce François ou Mon Général ? Ils optent finalement pour un « Sébastien » qu’ils imaginent neutre et moins handicapant.
Résultat des courses, après sept romans, Sébastien Gendron a pour ambition de libérer la France et d’obtenir le prix Nobel avant son soixante-septième anniversaire.