Paraîtrait que le château Verdier est hanté. Moi, je m’en moque, le bâtiment est immense, le parc gigantesque, il y a même une jolie folie dans le fond.
Je vais en faire un sublime hôtel de luxe.
Dans ce polar qui mêle la petite histoire à la grande, Michel Quint (Effroyables jardins, Avec des mains cruelles) nous montre à quel point les murs ont une mémoire.